Les changements climatiques laissent une bonne partie de la population sceptique : vous avez vu comme il a plu et on nous parle de sécheresse ! c’est ce que se disent bon nombre de nos congénères.
Dès que le temps ne va plus c’est de la faute de la bombe atomique ou du CO2. En fait on dit cela et on fait comme si de rien n’était.
Les choses sont beaucoup plus graves que l’on le pense. Les gouvernements s’en préoccupent et les médias publient de plus en plus de données alarmantes.
Le site web de l’agence pour la protection de l’environnement des états unis a un dossier très complet sur le sujet. De même que l’Agence Européenne de l’Environnement.
Un article du 1er Août paru dans la revue science établit un lien direct entre conflits armés et perturbations de l’environnement. Cet article est repris dans le journal "Le Monde" daté du dimanche 4 et lundi 5 aout .
Les sceptiques, disent corrélation n’est pas causalité. Il apparait alors nécessaire de les renvoyer à quelques bases de neurophysiologie concernant la thermorégulation. Cette régulation mettant en jeu des neuromédiateurs impliqués dans l’addiction et l’agressivité. D’autre part la concentration urbaine impliquant des approvisionnements à "flux tendus", toute tension sur les disponibilités et les prix est d’une façon quasi-mécanique génératrice d’un stress dont on ne peut sortir que par la fuite ou l’agression.