Cette étude a été motivée par le maire de la commune qui s’est inquiété de la prévalence des cancers d’enfant sur sa commune.
On doit semble-t-il à Mme Ribeyran de Listrac le fait que le rapport ait été rapidement sorti des dossiers de l’INVS.
Il apparait qu’il existe une très forte probabilité de causalité entre la présence de cultures "bénéficiant" de l’usage de pesticides et autres neurotoxiques à proximité de l’école et ces cancers.
Il est très étonnant que ce rapport réalisé par le service communication de l’INVS daté de juin 2013 et dont le dépôt légal date de juillet 2015 n’ait pas reçu à ce jour plus de publicité des pouvoirs publics !
Il est à rappeler qu’il existe des alternatives bio à l’usage des pesticides et neurotoxiques (argile calcinée, etc...) alternatives utilisées par les producteurs en biodynamie.
Par ailleurs on ne peut que s’étonner du rôle du GDON des graves et sauternes qui a pour mission de lutter contre les nuisibles et qui impose l’usage de produits à même d’altérer la santé des personnes qui les utilisent ainsi que des enfants vivant à proximité des zones traitées.
Se pose bien naturellement aussi la question de la contamination de la nappe phréatique.