Partant du constat que les élus condamnés sont très fréquemment réélus par les électeurs, il appartient de s’interroger sur l’implication des élécteurs.
Réélection permet aux condamnés qui ont purgé leur peine de pouvoir se draper de l’onction populaire pour "revenir aux affaires".
Il apparaît donc que la lutte contre la corruption ne doit pas concerner que l’élu mais aussi ses électeurs.
Une idée pourrait être de fiscaliser les électeurs en instaurant une "taxe" condamnation de l’élu. Taxe constituée comme une contribution apparaissant sur la taxe d’habitation (x%) et touchant la population concernée par l’élu condamné.
Peut être que cela amènerait les électeurs à réfléchir !