Dans un article publié le 17 Octobre sur le site du Huffington Post, Corinne LEPAGE évoque l’importance du coût en rapport avec la gestion des sites nucléaires en fin de vie.
Mur d’investissement, falaise financière, les allégories ne manquent pas pour décrire l’impossible équation financière à laquelle la filière nucléaire française est confrontée.
La société Aréva traîne 7 milliards de dettes et voit son chiffre d’affaires en baisse constante. Elle aurait dû déposer le bilan. Mais elle est recapitalisée par un apport de 4,5mds de l’État destiné simplement à permettre la continuation de l’activité sous deux entités l’une étant reprise par EDF pour la somme de 2,5 mds payés en définitive aussi par le contribuable.
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