Les chiffres issus des premiers tests sérologiques sont très interrogeants car ils laissent penser que 90% des personnes touchées par le COVID seraient asymptomatiques ou pauci-symptomatiques.
Le Pr Eric Vivier évoque dans sciences et avenir une piste particulièrement intéressante sur la pandémie au COVID. L’idée globale en serait que le virus touche une partie de la population qui présenterait un déficit de l’immunité innée.
Cette hypothèse expliquerait l’importance des personnes asymptomatiques et/ou ayant eu une réaction banale comme pour n’importe quelle virose.
Il faut savoir que les facteurs environnementaux ont un impact majeur sur l’immunité innée. Les plus connus sont le manque d’activité physique (qui touche principalement les personnes succombant au COVID), les insuffisances et déficit en vitamine D, C, ...
Bref la malbouffe en serait un facteur majeur.
Les effets des perturbateurs endocriniens sur l’immunité innée commencent à être connus
il y a plus de 41 publications scientifiques sur le sujet ... Pour celles et ceux qui s’intéressent
Si cette hypothèse est valable et rapidement vérifiable, cela impacte considérablement les modalités du déconfinement !